Après 3 ans de développement, une campagne de crowdfounding financée avec succès et l’obtention de la récompense « Meilleure Innovation » dans la catégorie gaming lors du CES 2017, l’entreprise Swifpoint nous dévoile enfin la version finale de sa souris Swiftpoint Z.
Une souris censée révolutionner notre façon de jouer grâce à plusieurs technologies, dont un accéléromètre, un capteur gyroscopique et des capteurs de pression permettant d’effectuer des actions jusqu’alors impossibles avec ce type de périphérique.
A la fois souris, joystick, manette et en vente à partir de 249 € (tout de même !), voyons ce que cette souris apporte vraiment.
Teaser
Caractéristiques
- Souris pour droitier
- Capteur optique 12 000 dpi
- Fréquence 1 000 Hz
- Accélération 25G
- 13 boutons programmables
- Poids de 117 gr
- Ecran LCD
- Rétro éclairage RGB
- Mémoire intégrée
- Gyroscope et accéléromètre intégré
- Câble tressé 1,8 m
- Vibreur
Qu’a-t-elle de révolutionnaire ?
La Swiftpoint Z embarque un accéléromètre, un gyroscope, des capteurs sensibles à la pression ainsi qu’un vibreur. Mais alors à quoi ça sert concrètement ?
Hé bien à pas mal de choses à vrai dire. Grâce à ces technologies, certaines actions et mouvements deviennent possibles, la souris pouvant émuler des actions réalisées par un joystick ou une manette.
Les possibilités sont alors très nombreuses dont voici quelques actions réalisables en jeu.
L’inclinaison de la souris sur la gauche ou la droite pour pencher son joueur ou changer le fusil d’épaule :
La possibilité d’émuler un joystick pour la direction d’un véhicule (aérien comme terrestre) :
Pivoter la souris sur elle-même pour faire tourner une caméra :
Choisir entre une attaque légère ou lourde ou encore gérer le zoom d’un sniper en effectuant une pression plus ou moins forte sur le clic :
Évidemment ce ne sont ici que des exemples, libre ensuite à l’utilisateur d’entièrement personnaliser la souris depuis le logiciel pour créer ses propres fonctionnalités en fonction de son utilisation.
Les possibilités sont donc quasi infinies et c’est bien là tout le potentiel de cette Swiftpoint Z !
Déballage
Maintenant que vous en savez plus sur l’utilité d’une telle souris, intéressons-nous au produit lui-même en commençant par son déballage.
Produit premium oblige, nous avons le droit à une solide boite en carton renfermant une magnifique sacoche rigide.
Dans cette sacoche est soigneusement rangée la souris ainsi que tous ses accessoires que nous détaillerons plus tard.
Design et qualité de fabrication
Première chose qui saute aux yeux, le design atypique de la Swiftpoint Z. Avec une disposition bien particulières des touches on aurait presque l’impression qu’il manque des morceaux. La souris est en réalité très bien pensée et le look soigné.
Composée majoritairement d’un plastique mat légèrement granuleux, la souris dispose également de quelques touches de plastiques brillants. Swiftpoint n’a donc pas fait le choix d’une surface soft touch et ce n’est pas plus mal. Les plastiques sont robustes, ne craignent pas les rayures et la sensation une fois en main s’avère qualitative.
La marque ajoute quelques touches de fantaisie avec quelques grips en caoutchouc de part et d’autre de la souris pour améliorer la préhension, mais surtout un rétro éclairage RGB au niveau du logo et un écran LCD permettant l’affichage diverses informations (profil utilisé, sensibilité DPI, message personnalisé, angle de la souris ou encore le niveau de pression appliqué).
Au niveau de la qualité de fabrication je n’ai rien à reprocher. Cela a beau être une souris complexe et uniquement le second produit de la marque, les finitions sont excellentes. Tant qu’à pousser la qualité premium jusqu’au bout, j’aurais éventuellement bien vu une roulette en métal à la place d’un plastique gris couleur métallique, mais c’est vraiment histoire d’être tatillon.
Au final, même si je ne peux pas dire que ce soit la plus belle souris que j’ai pu tester, je trouve le look assez réussi.
Boutons et fonctionnalités
En plus des fonctions offertes par le gyroscope, la Swiftpoint Z à la particularité de proposer une ergonomie et des interrupteurs inédits.
Commençons par les capteurs sensibles à la pression. Ils sont au nombre de 5 sur cette souris ! Les clics droit / gauche, les deux petits boutons supplémentaires disposés sur ces mêmes clics et enfin la roulette. Tous ces boutons ont donc la particularité de pouvoir effectuer une ou plusieurs actions selon le niveau pression appliquée.
Seconde grande originalité avec cette Swiftpoint Z, les 2 boutons accessibles depuis la base du majeur et de l’index. En plus de pouvoir être pressés, ces 2 interrupteurs peuvent également être tirés vers soi pour effectuer une seconde action.
Enfin nous retrouvons de manière un peu plus classique 2 boutons le long du clic gauche ainsi que 2 boutons de navigation sous le pouce.
Tant qu’à pousser le vice « de la souris ultime » j’aurais bien vu l’ajout d’une roulette 4D gérant les clics latéraux à l’instar de certaines souris Logitech ou Roccat. Mais au final, en comptant la roulette, ce n’est pas moins de 15 actions qui sont réalisables directement depuis la souris et cela sans compter les différents niveaux de pression ainsi que les fonctionnalités offertes par le gyroscope.
Imaginez, en établissant une action différente en fonction de la pression sur une touche et en combinant à la fois le gyroscope et un bouton, les possibilités deviennent immenses, de quoi dépasser la cinquantaine d’actions ! Ce qui est énorme et demandera certainement une gymnastique intellectuelle pour retenir un tel nombre de commandes différentes.
Personnalisation et ergonomie
Comme nous avons pu le voir dans le déballage, la Swiftpoint Z est fournie avec une multitude d’accessoires permettant d’adapter au mieux la morphologie de la souris à notre main.
Ces accessoires se fixent de manière enfantine simplement en les enfonçant dans leur logement dédié.
Commençons par les 2 petits boutons disposés sur les clics droit et gauche comprenant trois possibilités de personnalisation. Il est ainsi possible de choisir deux boutons plus imposants ou deux autres plus petits pouvant être tourné à 180° si on souhaite la partie bosselée vers l’avant ou l’arrière.
Pour personnaliser les 2 « gâchettes », 2 boutons en caoutchouc de hauteurs différentes sont proposés. Chacun d’eux peut également être tourné à 180° offrant en tout 4 possibilités de personnalisation.
Continuons le tour des accessoires avec les différents patins proposés. Ceux-ci auront pour intérêt de rendre plus ou moins sensible ou de verrouiller l’inclinaison gauche / droite de la souris. Leur application est encore plus simple puisqu’elle se fait de manière magnétique.
Il suffit alors simplement de rapprocher les patins de la souris pour qu’ils se posent eux-mêmes sur leur emplacement.
2 patins permettent donc de régler cette « sensibilité » en les écartant plus ou moins et 2 seconds permettront de « verrouiller » l’inclinaison de la souris. Évidemment les différents patins peuvent être combinés pour ne verrouiller qu’un côté de la souris.
Enfin un dernier accessoire s’appliquant directement par-dessus les patins permettra de transformer la souris en une sorte de joystick.
Il est alors plus facile d’orienter la souris d’avant en arrière et de gauche à droite pour le pilotage de véhicules aériens par exemple.
Une fois en main, qu’est-ce que ça donne ?
Hé bien c’est franchement très bon ! On ne va se le cacher avec ses dimensions de 40 x 90 x 130 mm c’est une souris relativement volumineuse. Mais avec son design savamment étudié la souris tient bien dans la main et ne s’avère finalement pas aussi grosse qu’elle en a l’air. Les parties droite et gauche permettant de reposer le pouce et l’annulaire sont elles aussi bien placées et tous les boutons sont accessibles sans difficulté.
Au bout de quelques minutes, on fait corps avec la souris et l’utilisation des boutons (surtout ceux disposés sous l’index et le majeur) s’avère tellement naturelle qu’on se demande pourquoi personne n’y avait pensé avant ! La Swiftpoint Z frappe fort et même sans parler de ses autres fonctions, sa simple ergonomie pourrait presque justifier son achat.
Capteur et glisse
La Swiftpoint Z embarque un capteur optique Pixart PMW3360 Pro. Celui-ci fonctionne en toute circonstance et sur toute surface.
Pour la glisse c’est également très bon. Avec son poids relativement léger de 117 gr, une bonne répartition des masses et de nombreux patins, la souris est agile et fluide dans ses mouvements. Elle sera éventuellement un peu plus « pataude » que certains mulots plus compacts orientés pro-gaming mais elle s’en sort franchement très bien.
Pilotes et réglages
Version testée : Driver & Firmware 1.2.43.0
Évidemment, pour profiter pleinement de cette souris, il faudra impérativement mettre la main à la pâte en passant par le logiciel.
Après avoir indiqué une adresse mail sur le site pour récupérer le logiciel nous avons accès à une interface que je qualifierais de (très) complexe.
Entièrement en anglais et contenant très peu d’indications, il est difficile de correctement s’y retrouver. Seule une courte vidéo d’introduction indiquera comme attribuer la fonction volume + à l’une des touches de la souris. C’est franchement loin d’être suffisant et il faudra s’armer de patience pour correctement appréhender le logiciel.
Un exemple tout bête. Là où la plupart des logiciels demandent simplement de presser une touche de clavier pour l’attribuer à un clic ou de taper une combinaison de touches pour réaliser une macro, il faudra ici tout faire manuellement en passant par une multitude de menu et sous-menus.
Ainsi, si je souhaite simplement attribuer la touche « 1 » à un clic il faut :
- Sélectionner le bouton sur lequel attribuer la touche
- Cliquer sur « ADD mappings »
- Sélectionner si on souhaite que l’action soit réalisée en pressant ou en relâchant la touche
- Dans « select Output Type », choisir « Keyboard & media »
- Puis dans « Select Key Type », sélectionner « Letters & Numbers »
- Enfin choisir la lettre/chiffre dans « Select Key/Fonction »
Bref tout ça pour simplement attribuer une seule et unique touche à un bouton de la souris ! Imaginez un peu ce que ça donne pour la création de macros ou d’autres fonctions plus complexes utilisant les niveaux de pression et fonction gyroscopique. Une version simplifiée du logiciel avec possibilité de rentrer plus dans les détails aurait été une option plus judicieuse selon moi.
Toujours est-il qu’après quelques heures/soirées à triturer le logiciel pour adapter la souris à mon utilisation, je peux confirmer qu’il est extrêmement complet.
Du fait que les commandes et fonctionnalités soient entièrement créées de A à Z par l’utilisateur et que tout est modifiable, le niveau de personnalisation devient quasi infini.
Je ne dis pas que ce sera simple à faire, mais en théorie presque tout est réalisable. Il faudra en quelque sorte se mettre dans la logique d’un programmeur pour détailler les étapes d’une fonction que l’on souhaite réaliser.
Ci-dessous un exemple détaillé d’une fonction permettant de recalibrer le gyroscope de la souris.
En tirant la gâchette droite vers soi, le message « Reset Angles » s’affiche 1 sec, puis un second « Place flat » s’affiche 2 secs, la souris recalibre alors son gyroscope dans toutes les directions, puis un dernier message « Complete » suivi d’une vibration termine le recalibrage.
C’est avec cette même logique que des fonctions orientées « gaming » pourront être créées tel que gérer le niveau zoom d’un sniper et maintenir la respiration avec le simple clic droit de la souris. Je vous laisse d’ailleurs le lien d’une vidéo Youtube (en anglais) où l’on voit comment paramétrer le logiciel pour ce type de fonction.
Personnellement, même si globalement j’ai réussi à mettre en place les fonctionnalités que je voulais, il a des choses que je n’ai jamais réussi à faire même après plusieurs essais et sans trouver d’explication tel que :
- Couper le son lorsque je presse le bouton disposé sur le clic gauche avec une force de plus de 50% (ce bouton me servant à baisser le volume dans une utilisation « bureautique »)
- Affecter une fonction lorsque la souris est inclinée à plus de 25° sur la droite. En tant normal cela affiche des informations sur la souris (dpi, inclinaison, profil…), mais ayant créé un nouveau profil je n’ai jamais réussi à refaire marcher cette fonction.
- Affecter une fonction lorsque la souris est inclinée en avant ou en arrière arrière (pour scroller par exemple). Cela a fonctionné de temps à autre, mais de façon peu efficace et totalement aléatoire…
Le logiciel n’est également pas exempt de défauts et j’ai relevé quelques soucis et points d’amélioration importants selon moi :
- Le logiciel considère que le claviers est en Qwerty : certaines touches sont par conséquent absentes dans le logiciel, ce qui peut poser problème pour paramétrer correctement ses touches.
- Il aurait aussi été judicieux de proposer des fonctions toutes faites (par exemple la fonction de re-calibration détaillée précédemment). Pour chaque nouveau profil il sera nécessaire de tout reprendre à zéro (il est aussi impossible de copier une fonction pour l’appliquer sur un autre profil).
- Il est impossible de lancer un profil automatiquement avec un jeu. Il sera à chaque fois nécessaire de passer par le logiciel ou de mettre une fonction directement sur la souris pour changer de profil (chose au passage que je n’ai pas réussi à faire fonctionner correctement).
- Le logiciel s’affiche automatiquement dès l’ouverture de Windows. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus embêtant, mais je déteste être « polluer » par des logiciels qui pop automatiquement.
- L’intérêt des vibrations est au final assez limité. Contrairement à la SteelSeries Rival 500, les vibrations ne peuvent pas être liées à un événement en jeu (par exemple pour indiquer un faible niveau de santé, un chargeur quasi vide etc.).
Évidemment tout ce qui a pu être énoncé est susceptible d’être corrigé à l’avenir (du moins je l’espère). L’entreprise semble alerte aux retours des utilisateurs et nous verrons bien comment cela évolue.
Retour après plusieurs semaines d’utilisation
Après quelques semaines d’utilisation il faut bien avouer une chose : oui la Swiftpoint Z est bien une petite révolution dans le monde des souris !
Je trouve son ergonomie vraiment bien pensée. Tout semble si naturel à l’utilisation, c’est un vrai plaisir de l’utiliser en jeu comme en bureautique. Les 6 boutons à portée de doigts et les différents niveaux de pression facilitant certaines actions, il m’est assez difficile de retourner sur un autre modèle après avoir connu ça.
En revanche je dirais que la fonction du gyroscope m’a finalement un peu moins convaincue. Il est notamment pas toujours évident de pencher la souris tout en effectuant un clic sans se retrouver déséquilibré et par conséquent perdre en précision. Tout comme la fonction « pivot » qui au final a peu d’intérêt. Lors d’une utilisation « normale » le simple déplacement de la souris fait que nous ayons tendance à la faire pivoter sur elle-même de manière naturelle. Il est donc difficile de ne pas déclencher une action par inadvertance.
La fonction d’inclinaison gauche/droite reste toutefois intéressante pour tourner une caméra ou même effectuer un scroll latérale pour de la bureautique. J’ai aussi été agréablement surpris pour le pilotage d’avions sur Battlefield 1. La souris se comportant comme un joystick avec son support dédié, les mouvements sont assez précis et c’est une tout autre manière de jouer. J’ai toutefois été beaucoup moins conquis pour le pilotage de véhicules terrestres, le clavier ou un pad restant pour moi bien plus pratique d’utilisation.
J’ai également noté deux soucis (en dehors de ceux du logiciel) :
- Le gyroscope a tendance à se dérégler : il m’est arrivé de devoir recalibrer le gyroscope jusqu’à 5 fois par jour. Celui-ci croyant que la souris était inclinée sur la droite ou encore que le pivot de la souris avait été tourné de 180° après seulement quelques heures d’utilisation. Il est donc nécessaire d’avoir une bouton toujours accessible pour recalibrer la souris sans avoir à passer par le logiciel.
- Certains jeux ne prennent pas en compte toutes les fonctionnalités de la souris. Par exemple il m’a été impossible d’utiliser la fonction du gyroscope pour piloter les hélicoptères et avions sur Battelfield 3 (mais je suppose que cela vient bien du jeu et non de la souris).
Malgré ces petits pépins vous l’aurez compris le tableau est globalement positif. La souris est au point et seul le logiciel pose réellement quelques soucis même si je n’ai aucun doute sur le fait que ce soit corrigé avec le temps.
Conclusion sur la souris Swiftpoint Z
Après des années sans grande innovation dans le domaine des souris cela fait du bien de voir une vraie nouveauté !
Si vous avez eu le courage de lire ce test jusqu’au bout vous l’aurez sans doute compris, la Swiftpoint Z m’a conquis.
La souris est au point avec une configuration et une ergonomie savamment étudiées. Avec ses fonctions inédites la Swiftpoint Z dispose d’un très gros potentiel pour tout type d’utilisation et apporte au final un vrai plus à l’utilisation.
Reste qu’il est regrettable que le logiciel soit aussi compliqué à appréhender d’autant qu’il est un passage inévitable pour bien profiter du périphérique.
Alors en attendant éventuellement une version simplifiée du logiciel et le développement d’une communauté de passionnés pour se partager des fonctions et profils (ce qui devrait arriver prochainement, la marque travaillant sur une version beta d’un forum), Il faudra prendre en considération que la Swiftpoint Z est loin d’être un périphérique « plug n’play » et qui nécessitera de vraiment s’investir pour exploiter tout son potentiel.
Dernier point et non des moindres, parlons du prix !
Avec un tarif de sortie débutant à 249 €, la Swiftpoint Z fait trembler les portes-monnaies. Difficile de dire si ce prix est justifié ou non ou si c’est investissement judicieux. Certains n’hésitent pas à mettre ce prix dans un casque haut de gamme, alors pourquoi pas dans une souris après tout ? Ce sera le prix de l’exclusivité et d’une expérience inédite dirons nous.
Les plus :
- Souris aux fonctionnalités uniques sur le marché
- Ergonomie travaillée
- Nombreux accessoires
Les moins :
- Prix
- Logiciel en anglais et complexe
- Gyroscope qui a tendance à se dérégler
- Souris uniquement dédiée aux droitiers
Salut,
Wow très beau test qui me donne envie de changer de souris, j’ai un peu peur que le gyroscope manque de précision mais bon… Sinon que penses-tu de la Corsair Glaive (http://www.corsair.com/fr-fr/landing/glaive-rgb-gaming-mouse) qui est plus accessible vu mon budget.
Merci!
Salut Hugo, merci pour le compliment 😉
Difficile de te donner un avis sur la Corsair Glaive sans l’avoir testé. Elle à l’air pas mal comme ça et Corsaire est une marque plutôt fiable. Après je la trouve quand même un peu cher pour ce qu’elle apporte.
Très bon test, une question qui peut paraitre bête vu la machine mais, j’ai habitude de balader mon matos d’un pc à un autre, devrais je installer le logiciel sur tous les pc ou je peux l’utiliser directement du moment qu’elle a été configurer sur un PC ?
Salut Cedric, désolé pour mon temps de réponse, ton commentaire m’a échappé. Vu qu’elle dispose d’une mémoire interne tu n’a pas besoin de réinstaller le logiciel à chaque fois.